Dimanche 10 avril, dans le champ des communs : Un seul mot d’ordre, combien d’oseille pour cent patates?
Pour l’occasion nous avions vu grand, transhumance de brebis avec leur agneaux dans le parc, transport de foin de la parcelle maraichère aux champ des communs et 3000 mètre carré dédiés à la culture de pomme de terres sous paillis. Télérama avait même fait la promotion des atleiers dans son supplément sortir. Ce qui nous a apporté quelques parisiens en guoguette, ravis de décourvrir le parc et la techniques de plantation choisie. Mais aussi une dizaine de passants petits et grand qui bon an mal an ont finit par s’attacher à la plantation des patates.
Nous savons que les rendements obtenus seront moins importants que dans une culture classique, mais aussi que cette technique, nettement moins chronophage est plutôt bien adaptée aux conditions de cultures que nous connaissons sur place. D’une part on ne travaillera pas les sols une seule fois, d’autre part on se sert du foin fourni généreusement par le parc, et enfin étant que nous n’avons pas d’eau sur place on limite sérieusement nos arrosages. Cettes on prendra jusqu’à deux semaines de retard sur la récolte, mais nous auront moins de risque de verdissement que dans une culture classique, les herbes invasives dont on vous déjà narré tout les avantages seront sérieusement limitées dans leur développement, le travail d’entretien est quasi nul et la récolte se fait à la main. En d’autres termes rangez vos outils. on plante a la main.
Coté ravageurs, à présent que les lapins sont hors de portée nous nous concentrons sur les limaces et taupins qui affectionnent particulièrement ce mode de cultures, mais avons déjà prévu quelques purins à cet effet, histoire de les perturber un peu dans leur festin. Les rongeurs, quand à eux restent un prédateur naturel avec lesquels nous devrons composer.
Prochain rendez vous pour les patates, le dimanche 15 mai.
Pour ceux que l’expérience interesse, qui seraient tentés de faire quelques patates locales, de gouter au terroir, ou encore d’apprécier par la pratique ces techniques de jardinage naturel. Nous y renouvellerons une nouvelle session de plantation, sur les 2000 mètres carré restant, y pratiquerons les associations de cutures, et prendrons soin des cultures en cours, avec des apports de consoude si besion. Nous observerons tout le travail de nos petits amis auxiliaires sur les sols, et y degusterons le vin du parc du Sausset. Encore une autre histoire.
Mercredi 6 avril, sur la parcelle maraichère:
Tant qu’il aura des Apports de dechets vert, il y aura des buttes. Pas de plantation, ni de semis cette fois ci. Mais toujours de nouveaux jardiniers, du sud de l’Ile de france et de la commune voisine de Villepinte. C’est parceque l’on bénéficie de pluie abondante et régulière que l’on se concentre sur la strucutraton de buttes permanentes, histoire de maintenir toutes cette eau en surface, de faire composter nos différents apports. Cetes le travail est ingrât, mais nos amis jardiniers, petits et grands s’y prêtent volontier. Il faut dire que les cerisiers en fleur du vergers voisin, nous laisse songeur quand aux récoltes a venir les prochaines saisons.
Prochain rendez vous : le mercredi 20 avril, promis cette fois ci on sera, on plantera, on rempotera les légumes d’été. mais on ne saura s’empêcher d’amender nos buttes permanentes et d’en tracer encore une ou deux, mais c’est pour nous tous.
Pour plus d’info, rdv sur le Calendrier des Parcs.